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| Edward[validé] | |
| | Auteur | Message |
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Edward Cullen
Nombre de messages : 56 Date d'inscription : 17/02/2008
| Sujet: Edward[validé] Ven 22 Fév - 13:18 | |
| Nom : Cullen Prénom : Edward Surnom : Vous pouvez l’appeler Ed’, mais je ne garantis rien concernant sa réaction. Âge : 17 ans… depuis 1928. Né le 20 juin 1901. Caractéristiques psychologiques : Mystérieux et impénétrable, voilà les deux traits de caractères d’Edward les plus prononcés, et aussi à peu près les deux seuls que l’on connaisse réellement, étant donné ce qu’ils sont. Cet Apollon a la faculté de se fabriquer un masque neutre, un visage dénué d’expression, si insondable, si imperméable à toute émotion ! On dirait parfois qu’il ne ressent rien, qu’il est vide de sensation, une impression renforcée par sa beauté surnaturelle. Une poupée de figurine, il en a l’apparence : une terrible perfection et aucun sentiment sur ce visage froid. Il déteste se laisser aller à ressentir des émotions humaines. Car oui, il est devenu un peu méprisant face aux humains ; il est immortel, et grâce à son don, comme il lit dans les pensées de chacun, il se sent supérieur face aux autres, surtout quand ces autres ne sont pas très développés intellectuellement. Les mœurs humaines ne le concernent pas, il est un vampire, il met un point d’honneur à ne pas se mêler aux autres, ce qui le rend si mystérieux au regard de ceux-ci. Mais ce masque de froideur prouve aussi qu’Edward est de nature très solitaire ; il fut en effet le premier que Carlisle transforma : il eut certes donc son père pour compagnie, mais pas de personne pour son âge avant Rosalie, et à ce stade il s’était déjà forgé son caractère distant. Il ne manifesta aucun intérêt pour la gente féminine pendant plus de cent ans, jusqu’à Bella, ce qui prouve bien sa distance face aux femmes, car si les plus belles vampires ne l’attirent pas, c’est qu’il est vraiment un être solitaire. Il n’y qu’avec sa famille qu’il l’est moins. Il voue une tendresse particulière à Esmée et Carlisle, ses parents adoptifs qu’il aime comme s’ils étaient ses vrais géniteurs. Il adore Alice, si pleine de vie, si adorable, sur ce point, elle ne lui ressemble pas, mais il est tout de même très complice avec elle. Il aime bien Emmett, avec qui il chasse, et aime passablement Jasper. Ses relations avec Rosalie, finalement, sont plutôt froides, car elle n’apprécie pas spécialement Bella ; et elle fut de plus très frustrée qu’il ne s’intéresse pas à elle, étant donné qu’elle était sa « promise » et qu’avant lui, tous les garçons la regardaient avec avidité. Puis, en fait de son air impénétrable, Edward est sujet à de brusques… sautes d’humeur. Il peut s’énerver pour un rien, redevenir calme quelques minutes après ; il peut être joyeux ou inquiet, fâché ou calme, tout cela en un temps record. La plupart du temps, c’est Bella qui le rend comme cela… Peut-être a-t-elle un peu déteint sur lui, d’ailleurs. C’est ce qui le rend – l’a rendu si mystérieux aux yeux de son amoureuse, alors que pour les autres, c’est simplement sa froideur. Avec elle, son impénétrable visage se détend et il se laisse aller au peu d’humanité qui lui reste ; avec elle, il ose montrer ses sentiments, lorsqu’il les juge bons (c'est-à-dire excepté la colère, la frustration, la tristesse, quoique tout cela dépend aussi du motif) ; avec elle, un instant il rit, et l’instant d’après, à cause d’une phrase qu’elle aura dite, il redevient sombre et fermé. Le jeune homme est aussi très curieux. Il a fait partie des plus prestigieuses universités des Etats-Unis, il est très intelligent et très cultivé. Il adore lire et apprendre de nouvelles choses (ce qui devient malheureusement de plus en plus rare…), il est intéressé, par la science, les langues, tout ce qui est du domaine scolaire – ses excellents résultats le prouvent, bien qu’ils soient facilement obtenus, après cent ans de lycée. Mais au-delà de la curiosité scolaire, il est très curieux au sujet de Bella. Il ne sait pas lire ses pensées et se demande pourquoi, elle un vrai mystère pour lui, et il se demande à chaque heure du jour ce qu’elle peut bien être en train de penser, ce pourquoi il lui pose assez souvent la question fatidique, « A quoi penses-tu ? » De plus, la capacité irréelle de Bella à se trouver dans les situations les plus cocasses et les plus dangereuses à la fois sont aussi une source de curiosité pour lui : comment une seule jeune fille arrive-t-elle à s’attirer autant d’ennuis en une seule vie ? Même ses réflexions, ses actions, ses emportements, tout intrigue Edward. Elle est différente, et c’est d’ailleurs pour cela qu’il l’aime… Caractéristiques physiques : Le moins qu’on puisse dire, c’est qu’Edward est beau. Le mieux, c’est que c’est un Apollon, et c’est encore un euphémisme. Edward est, comme tous les vampires, d’une beauté sans pareille. Son visage fin, aux traits parfaits, est d’une pâleur extrême, un teint laiteux presque translucide. Sa peau est douce et dure, son nez est droit et sa bouche en fait craquer plus d’une. Que ce soit son demi-sourire ironique ou son exclamation curieuse, on ne peut qu’être fasciné par ces lèvres naturellement rosées. Ses yeux sont surmontés de sourcils fins et bien dessinés qui soulignent à merveille le tracé de son visage ; leur couleur varie du noir le plus profond lorsqu’il est en colère ou qu’il a soif, à la couleur ambrée, topaze lorsqu’il est heureux et rassasié. Ses cheveux blond vénitien retombent avec grâce autour de son visage, légèrement éparpillés pour donner un air décontracté et revêche à cette perfection humaine. Tout en lui inspire beauté, charme et volupté, de son air enfantin et curieux jusqu’aux sourcils froncés de celui qui est coléreux, en passant par l’ironie et le sourire à demi contenu. Edward est plutôt grand et a un corps musclé et merveilleusement sculpté. Son torse est finement dessiné et souligné par de beaux pectoraux ; mais pourtant il est tout de finesse, de grâce. Ses mouvements sont fluides, comme dans un rêve. Il porte généralement des jeans et des tee-shirts ainsi qu’un manteau en cuir. Lorsqu’il y a du soleil, il évite de sortir : sa peau généralement si pâle scintille de mille feux comme s’il était illuminé de l’intérieur. Histoire : 1918. L’année qui marqua le tournant dans la vie d’Edward Anthony Masen. L’épidémie de grippe espagnole fait rage dans le pays, et presque toute la population en est atteinte. Le père d’Edward avait déjà été emporté par la première vague quand Carlisle prit en charge la famille Masen. Le médecin était, par on ne sait quelle raison, très attaché à ses membres. Elizabeth Masen, la père d’Edward, était une femme très attachée à son unique enfant. Elle était très atteinte par la maladie mais luttait, luttait, luttait pour pouvoir prodiguer les soins à son fils. Ils se ressemblaient prodigieusement : les mêmes cheveux cuivrés, les mêmes yeux… verts. L’amour inconditionnel que portait la mère à son fils le suivait depuis sa plus tendre enfance. Et elle avait remarqué que celui-ci, bizarrement, était très sensible aux émotions, aux réactions, aux pensées de ses proches. Il devinait souvent ce qui agitait sa mère ; à même pas quatre ans, quand elle allait mal, il s’accrochait à ses jupons et lui demandait d’une voix timide : « Maman, pourquoi tu te sens mal ? C’est parce que tu es inquiète pour notre avenir ? », alors que le jeune garçon n’avait en aucun cas entendu ses parents parler de cela ou de quelque chose s’y rapprochant… Et il réitérait souvent ses exploits, parlant de choses qu’il ne comprenait pas forcément. En cette année 1918, Edward sentait donc que sa mère se démenait pour lui, alors qu’il était dans un état chaotique, même plus en mesure de parler. Il souffrait le martyr et sa mère souffrait avec lui, pour lui. Quand ce médecin, Carlisle, arriva, Edward n’avait plus d’espoir, mais sa mère priait encore pour lui. Elle voulait le voir vivre – sous n’importe quelle forme que ce fut. Peut-être devina-t-elle la réelle nature du médecin, c’est ce que celui-ci croit, en tout cas. Alors que l’espoir l’avait lui aussi abandonné, alors qu’il hésitait à se « créer un compagnon », la mère du jeune homme le décida. Elle le prit à part, et lui parla, avec toute la force dont elle était capable pour le convaincre. Son état avait empiré. Elle voulait mettre toutes les chances du coté de son fils. « Sauvez-le », ordonna-t-elle d’une voix rauque. « Je l’exige », ajouta-t-elle. Carlisle lui murmura qu’il ferait tout ce qu’il pourrait. Et elle sombra. Elle avait décidé le médecin. C’est ainsi que trois jours plus tard, au prix d’intenses souffrances, Edward renaissait… Carlisle lui apprit ce qu’il était devenu, ce qui plongea le jeune homme dans une humeur froide et distante pendant plusieurs jours encore, le temps de digérer la nouvelle. Cependant, les inconvénients – considérables – de la vie de vampire étaient contrebalancés par des avantages surprenants : s’il était déjà plutôt mignon étant humain, Edward était devenu un jeune homme d’une beauté à couper le souffle ; il fascinait n’importe quelle fille, et même n’importe quel vampire, d’ailleurs, il était encore plus beau que la plupart de ses congénères. C’était un avantage certes, mais cela ne semblait pas vraiment l’affecter. La rapidité le conquit cependant, il arrivait maintenant à se mouvoir très vite et très gracieusement : il lui était presque impossible de tomber ou de trébucher, et même avec des chaussures de skis, il était certain qu’il garderait son aisance et sa grâce (et il faut le faire, quand même). Son don naturel avait aussi été étrangement décuplé : avant, il se doutait de ce qui perturbait ses proches, et maintenant, il était devenu un véritable télépathe, capable de lire sans le moindre problème les pensées actuelles des gens – ce qui, au bout d’un moment, le blasa et le renferma encore plus sur lui-même : ce que les humains pouvaient être semblables, prévisibles et stupides ! Le jeune homme commença donc sa nouvelle vie, avec Carlisle et Esmée qui vint les rejoindre un peu plus tard, et il devint bien vite le fils adoptif des deux vampires. Mais le médecin avait aussi inventé un nouveau… régime, pour la famille Cullen. En effet, sauver toutes ces vies ne l’intéressait pas si, derrière, il prenait celle de ses victimes. Il décida donc d’imposer un régime spécial à sa famille : il ne voulait plus qu’ils se nourrissent de sang humain, mais simplement de sang d’animaux. Esmée accepta sans problème, mais Edward lui, s’il comprenait les pensées de son père adoptif, avait beaucoup plus de mal que lui à résister à l’appel du liquide rouge… Ils se disputèrent et Edward, furieux, au grand damn d’Esmée qui s’était attachée à lui d’une manière très maternelle, quitta le foyer. Il erra pendant de nombreuses années. Il avait décidé, pour se convaincre qu’il ne faisait pas vraiment de mal, pour se justifier, de ne boire le sang que d’êtres immondes, des assassins, des violeurs, de mauvaises gens. Il tua ainsi un grand nombre de personnes, mais plus le temps passait et plus il lui était difficile de tuer. Il trouvait qu’il agissait mal, il n’arrivait plus à se justifier correctement, de plus, lorsqu’il tuait, il était presque contraint de lire dans les pensées de sa victime et cela l’horrifiait. Il décida donc finalement de rentrer chez les Cullen qui l’accueillirent à bras ouverts. Les années passèrent, et la famille s’agrandit de membres qui acceptaient sans rechigner le régime alimentaire du médecin. Rosalie Hale rejoignit les Cullen, d’abord promise à Edward qui l’ignorait tant qu’elle commença elle aussi à le détester ; puis Alice, avec qui Edward s’entendit rapidement à merveille ; Emmett, qui attira bien vite Rosalie, qui se désintéressa en moins de deux semaines de son ancien promis ; et Jasper, qui avec Alice forma lui aussi bien vite une sorte de couple parfait. Les Cullen changèrent beaucoup de ville, les plus jeunes passant plus d’une dizaine de fois dans les plus prestigieuses universités. Au bout d’une centaine d’année, Carlisle décida d’amener sa petite famille à Forks, un petit village perdu qui passait la majorité de l’année sous la pluie – essentiel pour garantir les sorties journalières des vampires. C’est dans ce village que la vie d’Edward prit un autre tournant. Au lycée de Forks, lui et Alice, Jasper, Emmett et Rose étaient un peu comme les dieux du lycée. Personne ne les approchait, bien sûr, ils en imposaient trop, et ils restaient toujours ensemble, mais tout le monde les épiait plus ou moins, toutes les filles s’extasiant devant la beauté d’Edward et Jasper (Emmett étant un peu trop musclé et effrayant pour ces demoiselles), et les garçons rêvant à des idylles secrètes avec Alice ou Rosalie ; tous se gardant d’en parler à leurs amis, craignant certainement que tout cela arrive aux oreilles de leur partenaire respectif, et aucun lycéen ne semblait vouloir se retrouver en face d’Emmett ou Jasper, voire même Edward qui même s’il était célibataire, n’apprécierait sûrement pas que l’on fantasme en public sur lui (ce qu’elles ne savaient pas, les lycéennes, c’est qu’il savait très bien tout ce qui leur passait par la tête lorsqu’il les croisait). Et, un jour, une rumeur commença à se répandre. Une nouvelle, venue de Phoenix, s’installerait d’ici peu chez son père, le chef Swan. Si tous les garçons étaient excités par la nouvelle, Edward lui y était totalement indifférent. Une fille de plus ou de moins… Cependant, il nota dans un recoin de son esprit que, ce jour-là, il ne fallait pas oublier d’essayer de sonder l’esprit de cette jeune fille – voir si elle aussi était si stupide que les autres ; venant de Phœnix, ça devait être le cas. Le jour où elle arriva, il avait totalement oublié ce qu’il s’était dit. Mais il ne pouvait pas passer à côté des pensées de tous les garçons présents à la cafétéria. Pensées qui étaient, à quelques mots près : « Mais quelle bombe ! » Bombe variant pour canon, déesse… Ils étaient tous subjugués par cette fille, apparemment. Apparemment, ils s’étaient fait au physique des Cullen et les avaient éloigné de la moyenne générale, parce qu’il était impossible que cette fille soit aussi belle qu’eux. Amusé, Edward finit par détacher le regard de son plateau encore intact, et posa ses yeux devenus ambre, grâce au régime de son père, sur cette fille.
Dernière édition par Edward Cullen le Ven 7 Mar - 11:06, édité 2 fois | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Edward[validé] Ven 22 Fév - 18:20 | |
| Bienvenue Edward! J'espère que tu t'amuseras bien parmis-nous! J'ai hate que ta présentation soit terminé! Et ne t'inquiète pas on ne suprimeras pas ton compte puisque tu as avertie! Alice xx |
| | | Leïla Sturgess .♥.Sauve-moi comme tu m'aimes.♥.
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| Sujet: Re: Edward[validé] Ven 22 Fév - 21:38 | |
| Encore bienvenue!^^ Merci de ton inscription. J'espère que tu t'amuseras bien parmi nous! Jusqu'à maintenant, tout est plus que parfait, alors j'ai hâte de voir la suite! T'inquiètes, comme promis, on ne supprimera pas ton perso. Merci d'avoir prévenu. À bientôt et bonnes vacances! Bella xx | |
| | | Lena Weys
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| | | | Edward Cullen
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| Sujet: Re: Edward[validé] Ven 7 Mar - 11:08 | |
| Suite de la fiche :Cette fille qui le fixait de ses yeux chocolat. Rougissant comme il n’est pas permis, elle détourna immédiatement le regard et se dépêcha de mettre la fourchette à sa bouche… cependant qu’Edward restait bouche bée. Fronçait les sourcils. Il devait se tromper, ce n’était pas possible… Et pourtant non, il n’y arrivait pas… Il n’arrivait pas à lire dans son esprit. Comment cela pouvait-il être possible ? Il réessaya une troisième, quatrième fois, sans succès. Alice s’inquiéta de l’apparence troublée de son frère, qui éluda la question. Il reporta son attention sur son plateau, frustré. La journée commençait mal… ou bien – après tout, un peu de mystère ne lui ferait pas de mal. Ce qui n’était pas surprenant, en revanche, c’était le fait qu’elle n’arrête pas de le fixer. Il sentait son regard brûlant posé sur son dos, et les pensées de Jessica, assise à côté d’elle, le trahissait : elle répondait aux questions qu’Isabella – Bella – Swan lui posait, visiblement surprise par tant de beauté, et… fascinée. Edward quitta la cafétéria dans un état proche de la crise de nerf. Toutes ses tentatives étaient restées vaines, pour essayer de pénétrer l’esprit de cette fille, qui avait mitraillé de questions son amie. Il tournait la tête souvent vers elle, pour se concentrer un peu plus – ce que Jessica interprétait par un subtil « Edward Cullen te mate » - et au bout d’un moment, il ne la voyait même plus tellement il se concentrait (si seulement il l’avait vraiment vue au début). Il avait sciences. Peut-être pourrait-il réfléchir à ce mystère. Il entra dans la classe, alla s’asseoir comme à son habitude à sa place seule, au fond de la classe, personne n’osant s’asseoir à côté de lui. Quelle ne fut pas sa surprise lorsqu’il leva les yeux : elle s’avançait vers lui ! Elle vint s’asseoir juste à côté de lui ! Il la regardait avec des yeux exorbités tandis qu’ elle gardait les siens désespérément fixés sur ses mains, étrangement sur les nerfs. Mais le pire n’était pas encore arrivé. Elle avait à peine posé ses fesses sur la chaise que la réalité des choses s’imposa à Edward. Son sang avait une odeur… une odeur… ! Fleurie, troublante, enivrante, délicieuse ! Et si présente ! Même s’il respirait avec la bouche il sentait encore l’attrait qu’il avait pour ce sang ! Il n’avait qu’une seule envie, c’était de se jeter sur cette fille et lui ouvrir la gorge pour déguster ce miel merveilleux qui l’appâtait avec tant de force. Non seulement cette fille interdisait (consciemment ou inconsciemment) l’accès à ses pensées, mais en plus l’arôme de son sang le tentait avec une telle force, une telle impudeur, il s’infiltrait dans ses narines, l’obsédait, le tentait si fort qu’il avait l’impression qu’il allait défaillir. Il s’était éloigné le plus possible et se tenait prostré contre le mur, maîtrisant ses tremblements le plus possible. La sonnerie avait à peine retenti qu’il était déjà dehors, se tenant au mur, haletant. Il s’éloigna le plus vite possible de cette fille qui l’obsédait tant. La première chose qu’il tenta de faire, pour préserver la vie de cette pauvre humaine, c’est de déplacer ses cours d’SVT. Plus question qu’il retente le diable – elle pourrait trépasser, et ce ne serait pas très bon pour lui. Il fut même pris en pleine conversation avec la concierge par Isabella… il ne put s’empêcher de froncer le nez et s’en alla le plus vite que possible, la laissant blessée et foudroyée sur place par tant d’ignorance et de rejet, sans avoir pu déplacer son cours. Une telle attirance pour le sang d’une personne en particulier ne lui était jamais arrivé, et il ne pouvait se permettre de la revoir, il ne tiendrait pas, malgré tout le contrôle qu’il arrivait désormais à garder, devant elle, ses barrières étaient balayées en moins de temps qu’il n’en faudrait pour qu’il se jette sur elle. Avec les conseils et approbations bien qu’empreintes de tristesse de sa famille, il s’exila pour quelques semaines, histoire de se reprendre, de se contrôler et de ne pas mettre de vies en danger. Au bout d’un petit moment, il revint à Forks, en se jurant que maintenant, quoiqu’en fut le prix, il arriverait à se contrôler ; il fallait qu’il se dépasse, il ne pouvait pas se laisser aller et ne voulait pas forcer sa famille à quitter les environs, et il était hors de question qu’il le fasse tout seul. Il rentra donc à Forks, et au début du cours d’SVT, se présenta avec une voix polie et fraîche. Bella tourna la tête vers lui, visiblement, elle semblait tomber de haut et n’arrivait même pas à parler. Quoi, est-ce qu’il avait été si froid le jour de leur rencontre ? Elle finit par balbutier quelque chose ; et à la fin du cours, il s’avérait que cette nouvelle, outre son sang et son esprit, était une jeune fille très douée, drôle et aux répliques plutôt amusantes. Edward haussait les sourcils en sortant du cours ; il lui avait semblé qu’elle était fascinée par lui, et à vrai dire, il commençait à ressentir de plus en plus de curiosité envers elle, et pas seulement à cause de ses drôles de facultés. La curiosité se mua bien vite en amour : un an plus tard, après de nombreux sauvetages de Bella par Edward, des soirées passées en douce et sous le nez du père de Bella dans la chambre de celle-ci, et notablement, la mort d’un vampire ayant attaqué la jeune fille, les deux amoureux sortaient enfin ensemble. Cependant, Edward se sentait mal parfois. Bella semblait si pressée de devenir vampire, elle attendait avec tant d’impatience qu’il lui vole son âme… Et pire, il se contrôlait, mais il avait peur de lui-même, peur de la tuer, il ne voulait absolument pas la mettre en danger. Après un incident qui le força à sortir de la même pièce que Bella car celle-ci saignait, il prit sa résolution : pour elle, il valait mieux qu’il parte. Pour son bien. Il le fallait. Il la quitta de la façon la plus brusque possible pour lui permettre de mieux cesser de l’aimer… ce qui n’arriva pas. Sauf qu’il ne le savait pas. Mais lui-même passa les six pires mois de sa vie. Il s’était exilé, il souffrait, il se forçait à traquer pour oublier, mais chaque jour, chaque nuit, la souffrance revenait, plus douloureuse et mortelle que la fois précédente ; jamais il n’avait senti passer le temps aussi longtemps… Il résistait car il était sûr qu’elle l’avait oublié et qu’elle vivait heureuse ; cependant, son assurance s’amenuisait de jours en jours. Il n’avait plus la force de résister pour s’éloigner d’elle ; il voulait venir la voir, au moins une fois, en cachette, pour savoir comment elle s’en sortait… Si elle était heureuse, il la laisserait, et si un jour, elle voulait revenir vers lui, il ne saurait pas résister… Mais il allait aussi mal que lui, là non plus, il ne pourrait pas ne pas céder à ce que son cœur lui dictait ; autrement dit, il reviendrait vers elle, si elle en avait envie. De plus, les Cullen commençaient à en avoir marre de là où ils s’étaient installés, et tous avaient envie de revenir à Forks. C’est ainsi qu’avec l’accord et l’approbation de sa famille, Edward revint dans son village. Il s’était donné pour mission de simplement regarder Bella de loin, et de l’approcher une fois ou deux… avant de prendre sa décision. Il avait toujours peur pour elle, d’ailleurs, et même si son irrésistible envie de la prendre dans ses bras le tarauderait, il attendrait un peu – même si elle avait mal –, pour réfléchir et être sûr de sa décision. Autrement dit, même s’il décidait de revenir vers elle [ce qui se produira de toute façon, je suis pas folle x) c’est juste histoire de rajouter du piquant mwahaha], il devrait la faire souffrir un peu plus avant de se ré-habituer à son sang, à être sûr qu’il pourrait se contrôler, et à être sûr qu’il pourra vraiment assumer les futures conséquences de ses actes… Ce qu'il aime : Edward aime beaucoup jouer au baseball avec sa famille, baseball un peu particulier, mais je ne vous expliquerai pas ses règles, vous devez déjà bien assez les connaître. Il aime chasser les pumas, sa proie favorite, à laquelle il ressemble d’ailleurs lorsque ses instincts le rattrapent. Monsieur adore conduire… vite. Très vite. Après tout il est immortel, alors pourquoi se priver d’une bonne dose d’adrénaline – si tant est qu’il puisse la ressentir ? Au volant d’une voiture, Edward n’aime décemment pas lever le pied, ce qui agace prodigieusement sa douce Bella qui en aura vu de belles lorsqu’elle prend la voiture avec lui. Ce qui se termine généralement par une crise de nerf et un échange de place dans la voiture, le « jeune » Cullen se retrouvant collé au siège passager. Edward adore sa famille et particulièrement sa petite sœur Alice, à laquelle il est très attaché et offre beaucoup de gros cadeaux… étant donné qu’après des siècles de « vie », ce n’est pas l’argent qui leur manque. Il offre d’ailleurs des cadeaux à Bella aussi, et elle en est souvent gênée étant donné que les prix ne sont pas ceux d’ordinaires cadeaux donnés par des adolescents conditionnés par leur argent de poche. Il est un grand musicien et aime beaucoup jouer du piano, il a d’ailleurs composé une berceuse pour sa jeune amie. Il aime lire et étudier. Mais bien sûr, ce qu’il aime par-dessus tout… c’est Bella. Il l’aime tellement qu’il serait prêt à faire n’importe quoi pour elle, à part peut-être la transformer… Il est attaché à elle comme il ne l’avait jamais été auparavant ; de plus il doit être dur pour n’importe quel humain d’aimer autant quelqu’un, que lui aime Bella. Et elle lui rend bien cet amour, d’ailleurs. Elle est sa bouffée d’oxygène, sa protégée, l’unique amour de sa vie… Ce qu'il/elle n'aime pas : Il n’apprécie pas vraiment qu’on lui donne des ordres, surtout quand ils vont à l’encontre de ce qu’il pense (logique) – en particulier lorsqu’il s’agit de laisser Bella se débrouiller seule. Il déteste la laisser faire n’importe quoi lorsqu’il n’est pas là car il a toujours peur qu’avec sa malchance inhabituelle, il lui arrive quelque chose. Et il n’apprécie pas vraiment qu’elle mette les pieds à La Push… Il n’aime aussi pas vraiment Mike car il tourne trop autour de Bella à son goût, ni Jacob pour la même raison (et parce que celui-ci est un loup-garou – ce qu’il ne sait pas encore, mais ne va pas tarder à savoir) ; pas qu’il se sente menacé ou jaloux, il a confiance en Bella, c’est en les autres qu’il n’a pas confiance. Il n’aime pas qu’on menace sa belle et se déteste à cause de cela : il sait très bien qu’il est dangereux pour elle, qu’il pourrait la tuer si ne serait-ce qu’un instant, il perdait le contrôle de lui-même, et c’est pour cela qu’il l’a abandonné après six mois merveilleux. Il n’aime pas aussi aborder des sujets fâcheux, tel que la probable transformation de son amoureuse ; il ne supporte pas l’idée de lui voler son âme, de lui retirer la vie. Sa race : Vampire, of course. Signe ou caractéristique particulier(ère): Edward, depuis qu’il est vampire, a le pouvoir de lire dans les pensées de toutes les personnes se trouvant dans un rayon d’environ 100 mètres autour de lui. Il arrive à entrer dans le cerveau des gens si facilement que ç’en devient presque agaçant ; de fait, lorsqu’il parle avec d’autres personnes, il peut parfois être déconcertant ou ironique étant donné qu’il sait facilement ce que pense son interlocuteur. Il en est heureux car selon lui l’espèce humaine ne dit jamais ce qu’elle pense ; puis généralement, les pensées des filles se résumant à « mon dieuuu il est tellement beau… », il abrège la conversation ou se montre particulièrement cassant. La seule personne qu’il n’arrive pas à décrypter, c’est Bella. Et cela l’a de nombreuses fois… agaçé. Est-ce un personnage pré-défini ? Non. ... Bah bien sûr x3 Quel est le nom de la célébrité sur votre avatar ? Gaspard Ulliel <3 Comment avez-vous découvert le forum ? Par une recherche sur Forumactif. Autre : A part que j’ai hâte de jouer, que je suis fan de cette saga, et que j’ai les mêmes symptômes que Bella, en même temps qu’elle – à savoir, stress, jambes qui tremblent, cœur qui bat… – quand je lis, rien. Par contre, j’espère que vous avez compris ce que Edward cherche à faire en revenant vers Bella (c’est pas si simple que ça, je sais -__-‘ J’ai un esprit tordu quand j’veux, même moi j’comprends pas tout c’que j’ai écrit xD). Pour rajouter un peu de piquant, parce que sinon ce serait plus si drôle si Bella et Edward filaient direct le parfait amour, puis parce qu’on m’a dit que je pouvais faire c’que je voulais xD, j’ai décidé qu’il ne reviendrait pas tout de suite vers elle =). Son projet, en fait, c’est soit : 1) Bella et heureuse et il la laisse (ce qui n’arrivera pas, on le sait tous) ; soit 2) Elle est horriblement affectée par son départ et il revient vers elle (ce qui va se passer). Mais vu que je veux pas que ce soit trop facile xD, et bah monsieur va prendre son temps avant d’être sûr qu’il peut revenir vers elle, pour reprendre le contrôle de lui-même, et être sûr que c’est ce qu’il veut pour elle, et prendre conscience de ce à quoi il l’expose. Valàààà… | |
| | | Lena Weys
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| Sujet: Re: Edward[validé] Ven 7 Mar - 11:35 | |
| T'a pas tout compris XD Arf j'ai jamais vu une fiche aussi longue et belle =D Bon je vais peut être finir de la lire XD | |
| | | Edward Cullen
Nombre de messages : 56 Date d'inscription : 17/02/2008
| Sujet: Re: Edward[validé] Ven 7 Mar - 11:46 | |
| J'ai pas tout compris ? Comment ça ? XD J'ai fait une erreur ? Remarque ça m'étonnerait pas, je suis tête en l'air des fois (et j'ai horreur de me relire) | |
| | | Lena Weys
Nombre de messages : 1193 Age : 31 FRIENDS : Théa, Alex, JUne,October, James,Amélia =) Lelah ? ENEMIES : Arf. Moi j'ai que des amis <3 LOVE : Mon pot de Nutella est toute ma vie *o* Date d'inscription : 05/12/2007
| Sujet: Re: Edward[validé] Ven 7 Mar - 11:51 | |
| - Citation :
- (c’est pas si simple que ça, je sais -__-‘ J’ai un esprit tordu quand j’veux, même moi j’comprends pas tout c’que j’ai écrit xD).
Je parlait de ça XD | |
| | | Edward Cullen
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| | | | Invité Invité
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| Sujet: Re: Edward[validé] Mar 11 Mar - 21:54 | |
| Encore bienvenue! Vraiment, très belle présentation! Je suis persuadée que tu feras un excellent Edward. C'est vrai, la description que tu en fais, elle est excellente!
On se revoit en RP! Bon jeu! Bella xx | |
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| Sujet: Re: Edward[validé] | |
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| | | | Edward[validé] | |
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