Commentaire de l'auteur: Merci Bella =|) Au fait j'ai oublier de préciser mais ils sont tous humains de plus, a cette époque Edward aa 18 ans et Bella en a 16 =D voilà.
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1
st Chapter
Lundi 14 avril 2008
20h34
Pff... C'est ridicule! Je ne vois pas l'intérêt d'écrire la date et l'heure précise à laquelle j'écrit dans ce fichu cahier! Comme si j'allais me relire. Franchement n'importe quoi, et bien sure c'est une idée d'Alice. Je suis sure qu'elle m'a dit ça mais en fait c'est pas vrai...
Oui, je suis aller la voir... Devine ce qu'elle m'a dit... Ah oui j'oubliais tu peut pas me répondre. Bon, elle m'a dit... Tien toi bien... Elle m'a dit que je dois te donner un nom! Un nom! T'imagine? Comme si tu était humain! Ah, les filles on l'esprit tordu... Mais bon si c'est que je dois faire, je le ferais... Mais je me demande si elle s'est pas moquer de moi là; non parce que avant que je sorte de sa chambre elle m'a envoyer « et oublie pas d'écrir l'adresse ».Qu'est ce que sa veut dire ça?! Que je dois écrire l'adresse?
Mais attends elle a dit « oublie pas » pas « je n'oublie pas »... Oh mon dieu! Je suis découvert avant même d'avoir écrit quoi que ce soit! Mais elle ne s'est pas moquer de moi, elle ne pas charrier ni rien... Est-ce que sa veut dire que c'est normal pour un garçon d'avoir un journal intime? Oui, peut-être mais pas un journal intime rose je suis sure. Je vais m'en acheter un autre je crois... Bon, on verra ça plus tard. Pour l'instant il faut te trouver un nom. Elle m'a dit une chose aussi a propos de ça, elle m'a dit qu'il faut nommer son journal comme la personne a qui toutes tes pensées son destinées... Dans ce cas tu doit t'appeler Bella!
Ah! je suis un homme écœurant! Elle me considère comme son grand frère et moi...Ha! J'y peut rien si je l'aime non?
Je me souviens la première fois qu'on s'est vu. Jamais je n'oublierais. Jamais. Même si je sais qu'elle n'en- que tu n'en a pas garder un très bon souvenir.
Je me souviens que avait une robe blanche avec des fleures bleues dessus alors que dehors il pleuvait rendant ta robe légèrement transparente, que les larmes, tel les gouttes contre la fenêtre, striaient tes joues, et que malgré tout cela je te trouva belle, mignonne. A cette époque tu avait les cheveux court, mais cela faisait ressortir ton visage. Tu avait déjà ses grand yeux chocolat, profond, trop profond. Mais je me souviens aussi que ses yeux si profond étaient vide d'espoir.
Tu venait de perdre tes parents une semaine plus tôt, c'était normal que soit triste, mais a ce point! Tu tenait ton ours en peluche bleue assortit a ta robe si fort que ses petits yeux noir brillants ressortaient. Maintenant, ce détail me fait rire, mais a l'époque sa m'avait remplis de tristesse. De tristesse... La tristesse s'évapora rapidement et fit place a la jalousie. Pourquoi? Disons juste que j'avais l'attention de tout le monde. Mais toi tu es venu. Tu a bouleverser ma vie. Esmé ne venait plus me lever le matin avec un baiser sur la joue pour que ma journée se passe bien, Carlisle ne me demandait plus mon avis, il te la demandait a toi. Toi petite fille de 10 ans. Toi qui venait de débarquer. Moi j'étais encore seul. Par ta faute. Même Rosalie ne s'occupait plus de moi. Maintenant c'était toi sa poupée, elle t'habillait, te coiffait, te maquillait. Même si je ne lui ai jamais dis sa me plaisais qu'elle s'occupe de moi. Mais toi tu avait voler ma place, ma haine envers toi était immense, si bien que je ne t'avais jamais adresser la parole après ce premier jour où tu m'a dis « merci » d'avoir porter tes affaire dans ta chambre... Mon cœur s'était remplit de joie.
Puis s'en était finit, de la joie, de l'amitié, de la sympathie que je ressentais pour toi a cet instant. S'en était finit, tout ça, ça avait disparut pour laisser place a la jalousie. Je te détestais tant. Tu m'avait voler ma vie, la vie que j'avais construits avec Esmé et Carlisle, mes parents adoptif, sans oublier Alice, Jasper, Rosalie et Emmett. Tu m'avait tout voler, je ne te pardonnais pas... Du moins jusqu'à jour où tu as fugué. Au début j'ai cru que c'était encore un de tes stratagème pour attirer le regard sur toi, j'étais encore plus en colère contre toi. Mais quand on ta retrouver, tu était dans la foret et tu pleurais. Je me suis sentis misérable de t'en vouloir mais je t'en voulais quand même parce qu'a cause de toi, les autres étaient très inquiet. Alors j'ai vider mon sac, toute ces choses que je gardais au fond de moi depuis ton arrivé, je t'ai crier dessus sans aucune raison et tu m'écoutais, tu ne disais rien. Comme si tu acceptait toute mes remarque. Comme si tu me comprenait, tu comprenait que je t'en voulais pas vraiment a toi mais a toute l'attention que tu attirais. Comme si tu comprenait...
Ensuite je me souviens de t'avoir demander « pourquoi a tu fait ça » et tu m'avait répondu simplement que « tu ne voulais pas me déranger ». Les autres sont arriver a ce moment là,surement alerter par mes cris.
Tu ne peut pas savoir comment je m'en suis voulus, tu t'était enfuie par ma faute, parce que j'avais été désagréable avec toi. Ça ne pouvait etre que de ma faute étant donner que les autres étaient plus qu'heureux de ta présence,
C'est a partir de ce jour que j'ai été gentil avec toi, au début c'était juste te rattraper quand tu trébuchait, puis petit a petit ça a progresser, évoluer, comme mes sentiment a ton égard. Je t'aidais pour tes devoirs, on sortais ensemble... Ouais, bon, Ok pas de la manière que j'aurais voulus mais bon, au allais au cinéma voir les dernier film et tout au moins. On étais devenu les meilleur amis. Ça ne me suffisais pas.
J'ai compris que je ressentais pour toi plus que de l'amitié quand tu as amener ton premier petit ami a la maison.
C'était un dénommé Mike Newton et bien sur il était blond. Sa me rendais malade de voir ta main dans la sienne. Tu ne peut pas savoir comment c'était dur de me retenir pour ne pas lui arracher le cou quand il posait ses lèvre sur le tien devant moi, celui que tu considérait comme ton grand frère. Je peux m'empêcher d'espérer que tu n'est pas aller plus loin avec lui car une semaine plus tard il t'avait abandonner, ce que je n'aurais jamais fais si j'avais été a sa place
Ce fut a moi de te réconforter. D'ailleurs le lendemain, je ne me suis pas gêner pour aller le voir. Il a dut regretter de t'avoir jamais connu, le pauvre.
Et maintenant on est là, six ans après ce premier jour. Le premier jour où j'ai commencer a voir plus loin que le bout de mon nez.
Bon j'ai assez raconter ma vie pour le moment je crois... Je suis malade, c'est grave ce que je suis en train de faire. Mais enfin, ça soulage quand même. Ah, j'ai faim.